Comité d'Etat à la Justice
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Comité d'Etat à la Justice
L'enquête anti-corruption de la présidence et de la PPV se déchainait sur tout le Parti, et l'on ne compait plus le nombre de fois où les berlines noires du département anti-corruption s'arrêtaient devant un bâtiment officiel, et repartaient avec un ou deux bureaucrates prêts à être interrogés au siège de la Police.
Face à l'ampleur du "scandale", le président avait décidé de créer une instance extraordinaire pour juger les suspects. Le Comité d'Etat à la Justice était composé de onze députés de la Diète (huit modérés et trois conservateurs) et d'un juge, chargés de juger leurs pairs du Parti. L'accusation et l'Etat était représentés par un procureu, nommé lui aussi par Tsierneko. Tout était réuni pour que rien n'empêche Tsierneko de reprendre les rênes du pouvoir tout en débarassant le pays de la corruption.
La première vague de suspects comprenait en majorité des directeurs d'entreprises publiques qui avaient soudoyé des dirigeants locaux et vendu des marchandises sur le marché noir. Le procureur, Gueorgui Molenkov, les accusa de "vol de biens communautaires du Prolétariat et du Peuple valdisks" et de "corruption généralisée, aussi bien économique que morale". Il ne fit aucun doute que les jugés furent condamnés coupables par les membres du Comité. Le procureur avait requis la prison pour trois d'entre eux qui avaient seulement versés des pots-de-vins. Pour les autres, la rééducation politique par le travail, l'euphémisme traditionnel pour l'internement au camp de Brevsk, fut demandée. Le Comité suivi l'avis du procureur et rendit ainsi le premier jugement qui condamnait des membres du Parti pour corruption.
Face à l'ampleur du "scandale", le président avait décidé de créer une instance extraordinaire pour juger les suspects. Le Comité d'Etat à la Justice était composé de onze députés de la Diète (huit modérés et trois conservateurs) et d'un juge, chargés de juger leurs pairs du Parti. L'accusation et l'Etat était représentés par un procureu, nommé lui aussi par Tsierneko. Tout était réuni pour que rien n'empêche Tsierneko de reprendre les rênes du pouvoir tout en débarassant le pays de la corruption.
La première vague de suspects comprenait en majorité des directeurs d'entreprises publiques qui avaient soudoyé des dirigeants locaux et vendu des marchandises sur le marché noir. Le procureur, Gueorgui Molenkov, les accusa de "vol de biens communautaires du Prolétariat et du Peuple valdisks" et de "corruption généralisée, aussi bien économique que morale". Il ne fit aucun doute que les jugés furent condamnés coupables par les membres du Comité. Le procureur avait requis la prison pour trois d'entre eux qui avaient seulement versés des pots-de-vins. Pour les autres, la rééducation politique par le travail, l'euphémisme traditionnel pour l'internement au camp de Brevsk, fut demandée. Le Comité suivi l'avis du procureur et rendit ainsi le premier jugement qui condamnait des membres du Parti pour corruption.
Konstantin Tsierneko- Camarade
- Messages : 71
Date d'inscription : 22/05/2015
Re: Comité d'Etat à la Justice
Le général Bourikov, député pour Novograd, s'était proposé pour siéger au sein du comité spécial. Le général avait clairement affiché ses intentions :
- Nous allons purger le pays des éléments anti-violëtistes. Je m'assurerai que ce comité applique la plus grande fermeté à l'égard des traîtres à la solde du capitalisme zollernois et édoranais !
- Nous allons purger le pays des éléments anti-violëtistes. Je m'assurerai que ce comité applique la plus grande fermeté à l'égard des traîtres à la solde du capitalisme zollernois et édoranais !
Gueorgui Bourikov- Ordre du Violët Rouge
- Messages : 179
Date d'inscription : 20/01/2014
Localisation : Etat-Major de l'Armée Violette
Re: Comité d'Etat à la Justice
Maria-Katerina Ietsiva, Commissaire générale à l'Edification violëtiste, avait décidé de prendre la parole devant le Comité d'Etat à la Justice pour dénoncer, au nom du gouvernement, la manifestation illégale organisée par les restes du Parti Violëtiste Révolutionnaire. Le PVR avait plongé le Valdisky dans une dictature sanglante en réprimant tous les mouvements qui n'étaient pas aussi extrémiste que lui.
- Camarades-députés et membres du Comité, le gouvernement ne peut tolérer la présence d'agitateurs du PVR en République Populaire du Valdisky. Nous n'oublierons jamais la dictature de Karamazov et de Potestiskaya, qui ont conduit des milliers de camarades respectables à la rééducation politique alors qu'elles trahissaient la cause de Violët. Ce sont elles qui nous ont tout droit mené vers la Junte et les mesures d'exceptions. C'est pour cela que le PVR est aujourd'hui interdit et que ses membres ont été déclarés hors-la-loi. Sous prétexte de diffuser la Révolution, ils ont pillé les entreprises publiques et ont ralenti l'économie, ils ont diminué les pouvoirs de l'Armée et la PPV pour les confier à leurs milices sauvages, ils ont déclenché une répression politique sans précédent en RPV.
Au nom du Peuple, nous ne pouvons tolérer le retour du PVR en Valdisky. La PPV a été chargée de réactiver l'enquête sur les réseaux extrémistes, et les membres du PVR seront, une fois arrêtés, jugés par un tribunal spécial pour crimes contre le Peuple et trahison. De plus, nous ouvrirons une enquête pour faire la lumière sur la disparition du Camarade-Président Gorilov, opposant au régime de Karamazov.
Le gouvernement refuse toute pitié aux tyrans sanguinaires du Micromonde, il n'en aura donc pas pour ceux de son propre pays.
Les modérés et les internationales, qui avaient été très touchés par la répression, applaudirent avec enthousiasme. Même les plus réticents aux mesures de rééducation politique et de surveillance de masse n'avaient aucune objection à formuler.
- Camarades-députés et membres du Comité, le gouvernement ne peut tolérer la présence d'agitateurs du PVR en République Populaire du Valdisky. Nous n'oublierons jamais la dictature de Karamazov et de Potestiskaya, qui ont conduit des milliers de camarades respectables à la rééducation politique alors qu'elles trahissaient la cause de Violët. Ce sont elles qui nous ont tout droit mené vers la Junte et les mesures d'exceptions. C'est pour cela que le PVR est aujourd'hui interdit et que ses membres ont été déclarés hors-la-loi. Sous prétexte de diffuser la Révolution, ils ont pillé les entreprises publiques et ont ralenti l'économie, ils ont diminué les pouvoirs de l'Armée et la PPV pour les confier à leurs milices sauvages, ils ont déclenché une répression politique sans précédent en RPV.
Au nom du Peuple, nous ne pouvons tolérer le retour du PVR en Valdisky. La PPV a été chargée de réactiver l'enquête sur les réseaux extrémistes, et les membres du PVR seront, une fois arrêtés, jugés par un tribunal spécial pour crimes contre le Peuple et trahison. De plus, nous ouvrirons une enquête pour faire la lumière sur la disparition du Camarade-Président Gorilov, opposant au régime de Karamazov.
Le gouvernement refuse toute pitié aux tyrans sanguinaires du Micromonde, il n'en aura donc pas pour ceux de son propre pays.
Les modérés et les internationales, qui avaient été très touchés par la répression, applaudirent avec enthousiasme. Même les plus réticents aux mesures de rééducation politique et de surveillance de masse n'avaient aucune objection à formuler.
Konstantin Tsierneko- Camarade
- Messages : 71
Date d'inscription : 22/05/2015
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