Union Violetiste - République Populaire du Valdisky
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Message  Kasimir Ilitch Manikine Mer 1 Avr 2020 - 16:51

"Naufrage" est un drame inspiré de faits réels valdisk produit en 2020 par K. I. Manikine pour SRTV Films et réalisé par les frères Ben et Jerom Marks avec Svetlana Mankova (Sasha), Irina Akter (Jennifer), Stepan Glavniy (Sven), Gerard Von Krassbach (Pyotr), Isabela Kandinsky (Alenya), Kurt Borgut (Dick Gorton), Vera Invanovna (Lady Raman), Boris Bortsch (Colonel Evilmutch), Imran Katastrov (l'Ambassadeur), Dirk Van Zoom (l'officier valdisk).

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Nous sommes en 2014 et l'Union Fédérale d'Armara et la République Populaire du Valdisky sont alliées.
A Poldegrad en Poldévie, Pyotr, Sven et Alenya sont trois jeunes marins fraîchement engagés dans la Marine Violette. Les trois amis se connaissent depuis leur enfance passée sur les plages idylliques de Poldévie et sont tout excités par leur prochaine mission à bord de la frégate Poliakov, qui vient d'être mise à l'eau.

Pendant ce temps à Mallington en Union Fédérale d'Armara, Sasha, la secrétaire générale de l'Ambassade du Valdisky et Jennifer, une jeune diplomate armaréenne, se rencontrent durant une réunion de travail entre pays et deviennent meilleures amies. Des sentiments amoureux naissent entre elles, mais elles sont toutes les deux trop timides et accaparées par leur travail. Jennifer aime son travail et réussit à monter plusieurs gros projets de coopération entre le Valdisky et Armara, mais elle déteste travailler avec Dick Gorton. Gorton est le Président de l'Union Fédérale, un personnage colérique, ignorant et imbu de lui même qui tyrannise ses employés. Un soir Jennifer réussit à organiser une sortie romantique pour avouer à Sasha ses sentiments, mais elle doit interrompre le rendez-vous car Gorton la réclame au bureau au milieu de la nuit. Le Président s'est levé du mauvais pied à 11h du soir et réclame des donuts à la crème ainsi qu'une guerre nucléaire avec le Krassland car il a rêvé que Karen Uberkrass mettait de la Krassbier dans son Milky. Jennifer réussit à convaincre un Gorton de plus en plus incohérent dans ses propos que ce n'était qu'un cauchemar et le fait se recoucher. Elle soupire alors de désespoir devant le ridicule de la situation. Le matin même elle rappelle Sasha et lui fait part de son amour. Le nouveau couple se met à rêver de déménager en Poldévie où ils pourraient échapper à leur vie de bureaucrates stressés, devenir vignerons et vivre dans une coquette maison au bord d'une plage tropicale.

Au même moment au palais présidentiel, Gorton, qui n'est plus sous la supervision de Jennifer, décide de nommer le colonel Evilmutch, un officier de l'armée armaréenne brutal et détesté de ses hommes, à la tête de l'armée. Gorton ricane de façon machiavélique dans son bureau car il pense que la nomination d'Evilmutch est la dernière étape pour réaliser son rêve de toujours : abolir la démocratie et devenir l'Empereur d'Armara. Malheureusement son projet se transforme en catastrophe car Evilmutch se retourne contre lui pour lancer un coup d'Etat fasciste. Evilmutch prend alors des diplomates krasslandais en otage sur l'aéroport de Mallington et réclame à la télévision qu'on lui remette les codes de l'arme ultime de l'Union Fédérale : la bombe N.

A Poldegrad, les trois marins boivent une vodkoko dans un bar du port. La télévision du bar montre la crise et une image des colonnes de fumées des incendies à Mallington. Leur officier apparait dans la porte entrebaillée et leur fait signe de se dépêcher car la Poliakov est envoyée en Armara pour évacuer les citoyens valdisks du pays.

A Mallington, la ville est mise à feu et à sang par les partisans d'Evilmutch. Gorton fulmine et ordonne à Lady Raman, une grande bourgeoise guindée qui lui sert de Premier Ministre, de régler la situation, mais Raman se montre totalement incompétente et se laisse dépasser par les évènements. Raman reçoit alors un appel des ambassadeurs krasslandais et valdisk qui lui demandent d'envoyer l'armée armaréenne mettre leurs citoyens et ambassades à l'abri des putschistes. Gorton arrache alors le téléphone des mains de Raman et les envoie paître, prétendant contrôler la situation.

Retour rapide sur le pont de la frégate Poliakov, où un officier explique à Sven et Alenya qu'ils vont devoir survoler en hélicoptère Mallington en guerre pour aller sauver leurs compatriotes, ceci à leurs risques et périls puisque le Président armaréen refuse de les aider. De plus, ils n'ont pas beaucoup de temps pour compléter leur mission car un ouragan s'approche, qui rendra impossible l'utilisation de l'aéronef. Quelques dizaines de minutes plus tard ils survolent la capitale armaréenne en flammes. Alenya se désole de ne pas pourvoir sauver les citoyens armaréens, voyant défiler les rues livrées aux putchistes dans une atmosphère de fin du monde. Ils sont alors la cible de tirs d'armes à feu et Sven lui hurle de s'accrocher car ils risquent d'être abattus.

Au sol, Jennifer se fait agresser par les terroristes fascistes devant l'ambassade valdiske alors qu'elle se rendait à une réunion de travail à l'ambassade, mais Sasha intervient avec un garde pour repousser les assaillants et la mettre à l'abri. Le couple se retrouve alors prit au piège dans l'enceinte de l'ambassade assiégée. Jennifer éclate en sanglot car la vie de ses amis est en danger et sa carrière est finie à cause du coup d'Etat. Sasha rassure une Jennifer paniquée en lui remémorant leur projet de déménagement en Poldévie. Elle lui remonte le moral et lui dit que tout est encore possible, tandis que les fascistes lancent un assaut contre l'ambassade.

Alors que tout semble perdu pour eux et que les émeutiers mettent le feu au bâtiment, l'hélicoptère de la Marine Violette arrive au dessus de l'ambassade. Alenya descend en rappel de l'hélicoptère, salue militairement Sasha, Jennifer et l'Ambassadeur valdisk puis les évacue avec le treuil alors que la cour d'honneur est envahie. Les rescapés sont accueillis à bord de l'aéronef par Sven, qui pilote l'appareil. Quelque temps plus tard l'hélicoptère se pose sur le pont de la Poliakov et Pyotr félicite avec un grand sourire Alenya et Sven pour cette opération rondement menée. Il est tout de suite rappelé d'urgence à la passerelle car un ouragan s'approche. Le navire commence à tanguer dangereusement et les protagonistes tentent de rejoindre les radeaux de sauvetage. A la passerelle, le capitaine du navire est blessé par une vague plus puissante que les autres et Sasha lance un appel de détresse à la radio, tandis que Pyotr prend la barre du bateau. Gravement blessé lui aussi, Pyotr se sert de l'interphone du bateau pour rappeler à Sven et Alenya qu'il les considère comme ses frère et soeur et combien ils ont eu de la chance de vivre ce qu'ils ont vécu ensemble en Poldévie. Alenya lui répond que leur amitié transcendra la mort et qu'elle est fière d'avoir servi la Révolution avec lui avant que celui-ci n'expire. Jennifer aperçoit à ce moment une vague gigantesque à l'horizon. Se rendant compte qu'ils sont condamnés, elle se rend près de Sasha et lui dit qu'elle est heureuse avec elle, même si elles ne vivront jamais leur rêve insulaire, et l'embrasse fougueusement.

L'appel est reçu par les autorités valdiskes et par Mallington. Les valdisks relaient l'appel vers Armara pour leur demander de venir en aide au navire, mais Gorton, vexé comme un pou de s'être ridiculisé devant le Micromonde lors du putsch, ordonne de refuser d'envoyer les secours et déchire le traité d'alliance avec le Valdisky dans un geste dramatique.

La scène finale montre le calme revenu en mer deux jours après le passage de l'ouragan. Sur une mer d'huile sur fond de lever de soleil, un remorqueur valdisk et un navire scientifique scanthelois à la recherche de la frégate Poliakov en perdition se croisent sur les lieux de l'appel de détresse, mais la mer reste désespérément vide.
FIN
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Productions SRTV Empty L'homme des ondes - Documentaire (2020)

Message  Kasimir Ilitch Manikine Mer 1 Avr 2020 - 19:34

"L'homme des ondes" est un documentaire valdisk réalisé par Islov Kariman et produit en 2020 par SRTV Films avec Kurt Borgut (Pavel Gorilov), Dirk Van Zoom (narrateur), Andreï Van Ijmeer, Mikhaïl Diaghilev, Boris Falski, Boris Koloskopy.

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Le film raconte l'ascension de Pavel Gorilov à la tête de la République Populaire du Valdisky, de simple pigiste à l'"Altenberg Zeitung" à sa disparition mystérieuse.
Utilisant les photos d'archives et les témoignages de collaborateurs tels que l'ancien Président du Conseil Dimitri Litovski, le général Mikhaïl Diaghilev ou son fidèle bras droit Andreï Van Ijmeer. On suit le jeune Pavel qui découvre le merksisme-violetisme dans les meetings clandiestins avec Vladimir Violet, puis l'intrépide journaliste de guerre dans les combats de la révolution au Nordenmark. Il se révèle au grand public en devenant  en 2013 le présentateur en titre des "Nouvelles de la République Populaire" sur la Radio Nationale Révolutionnaire, l'émission d'information la plus suivie du Valdisky. Il restera toute sa vie marquée par cette image de présentateur préféré des valdisks.

Critique du Président Litovski puis du terrible Premier Secrétaire Bogdan Raspoutine, il ne se laisse pas impressionner par la répression brutale de la Police Politique Valdiske et monte tour à tour un syndicat puis un mouvement au sein du Parti Violetiste Valdisk : le MVU. Le franc parler et la personnalité proche du peuple de Gorilov séduisent alors de nombreux merksistes qui le rejoignent. Personne ne sait alors que le mouvement formera près de la moitié des futurs gouvernements de la République, et le culot de Gorilov impressionne Raspoutine, qui l'invite dans son gouvernement. Raspoutine lui tend un piège en le mettant en charge du Ministère aux Affaires Sociales, un poste où il est sûr d'échouer alors que le Valdisky se remet à peine de la guerre civile. Mais Gorilov relève le défi et fait approuver la loi sur laquelle se basera tout le système social du Valdisky pour la décennie suivante.

Auréolé de ce succès, Gorilov brigue la Présidence. C'est d'ailleurs le moment que choisit Raspoutine pour sombrer dans une profonde léthargie. Gorilov entraîne alors Litovski avec lui dans une révolution de palais en créant le Comité de Salut Violetiste et fait démettre Raspoutine de son mandat, qu'il remet en jeu. Le MVU en sort grand vainqueur et Pavel est hissé au sommet de sa carrière en étant élu Président du Conseil. Le Valdisky connaît alors un ère de prospérité qui voit la Poldévie rejoindre la République Populaire et la construction du Canal Transcontinental avec le Krassland. On y voit Gorilov et les dirigeants krasslandais, main dans la main devant les plans du canal, puis un travelling le long du canal.

L'infortune l'attend pourtant au tournant, sous la figure de Svetlana Karamazov. Jeune première du MVU, elle est vue comme l'étoile montante du Parti Violetiste Valdisk et est une des plus jeunes ministre et commissaire du peuple à l'époque. Le documentaire pose la question de l'existence d'une prétendue liaison entre elle et Gorilov, mais cette affirmation n'a jamais été étayée. Karamazov rompt avec Gorilov et le MVU et crée un parti concurrent, le Parti Violetiste Révolutionnaire. En février 2014, elle lance sa milice des Jeunes Violetistes à l'assaut du Palais Volker et prend Brevsk et Maskva. Gorilov réagit en dissolvant le Conseil et interdit le PVR, mais il doit se résoudre à démissioner et laisser sa place, le PVR ayant gagné les élections. Le PVR plongera le pays dans plusieurs années de dictature et de violences.

A partir de là l'histoire devient floue. Le documentaire tente d'investiguer pour savoir ce qui s'est réellement passé. La Police Politique Violetiste est interrogée, ainsi que son bras droit Van Ijmeer et plusieurs militants de base proche de Pavel. Il semble certain qu'il s'est éclipsé du Palais Volker fin février 2014 avec un certain nombre d'archives. Il est vu à une époque, avec ses proches, à sa datcha familiale au bord du lac de Centurya, près de Valdrak-am-See. Ensuite les témoignages sont contradictoires. Certains affirment qu'il est parti sur un bateau de pêche pour traverser la frontière et se réfugier au Zollernberg. D'autres prétendent qu'il vit sous une identité cachée en CSH, protégé par des camarades du POLPOT pour échapper à la PPV et au PVR. Une rumeur a même prétendu qu'il s'était rendu à Gornograd pour participer à la République Démocratique et Populaire de Gornograd et qu'il avait été tué lors de la guerre civile russlave. Enfin, une dernière théorie dit que Gorilov a bien été recueilli par le gouvernement zollernois mais aurait perdu la vie dans le naufrage de son navire en tentant de rejoindre la Poldévie ou aurait été assassiné en mer par les ZZZ.

Le documentaire se conclut par de courtes interviews du Président du Conseil Andreï Van Ijmeer,  de la députée Irina Karimova, de Litovski et du commissaire Anatoli Kroutchov qui résument chacun d'une phrase l'énorme influence de Gorilov sur la République Populaire, qui continue à vivre à travers les mouvements politiques MVU et PVV Modéré.
FIN
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Message  Kasimir Ilitch Manikine Jeu 2 Avr 2020 - 12:36

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Message  Kasimir Ilitch Manikine Jeu 2 Avr 2020 - 19:45

"Chevaliers du Destin" est une fresque historique valdiske réalisée et produite en 2020 par K. I. Manikine pour SRTV Films, d'après les travaux de recherche d'Egon Schweinwald, avec Kurt Borgut (Le Grand-maître Obiden), Stepan Glavniy (le Tribulatum Randomir), Gerard Von Krassbach (le Fortunato Telnik), Boris Bortsch (Le chef Kvasnik).

Productions SRTV Chevaliers-du-Destin-film-1

L'an 1344. Nous sommes dans la forteresse de Tireosor, siège du très puissant et très fortuné ordre des Chevaliers Stochastiques. Les terribles moines-guerriers ont fait voeu de vivre une vie entièrement décidée par le hasard. Obiden, le grand-maître de l'ordre, règne d'une main de fer sur ses terres du Norduska. Le paysage de steppes est immense, balayé par un vent glacial, et seule se dresse la sombre silhouette de la forteresse de pierre, qui semble rejoindre un plafond de nuages noirs.

C'est le jour du tribut, qui a été déterminé aléatoirement par les prêtres d'Aleazar, la divinité unique des Stokastiki, et tous les paysans de la région viennent en file remettre leur impôt. La révolte gronde parmi les norduskanais miséreux, car cela fait à peine deux mois depuis le précédent jour du tribut. Tandis qu'Obiden prie dans le temple avec le Conseil des Sept hauts dignitaires de l'Ordre, une clameur s'élève dehors. Un convoi de paysans escortés par des moines-chevaliers rentre par la porte principale. Beaucoup sont gravement blessés et certains des chevaliers sont allongés dans des chariots, raides morts. Obiden sort pour inspecter les cadavres avec ses deux lieutenants, le Fortunato Telnik et son frère le Tribulatum-Principal Randomir. Ils déduisent que cette attaque a été commise par des guerriers Norduskas des tribus du Nord et que l'affront devra être lavé par le sang. Randomir organise une cérémonie du Saint-Gobelet, qui doit bénir cette décision par un jet de dés. Mais surprise, Aleazar décide qu'il en sera autrement, et les dés leur indiquent que la vengeance devra au contraire frapper les tribus du Sud, avec qui les chevaliers sont alliés. Alors que Telnik annonce la nouvelle à la foule sur le pas de la porte du temple, les paysans du Sud, outrés par cette nouvelle, se jettent sur Telnik et le mettent en pièce. Obiden et ses soudards chargent alors la foule à cheval et les repoussent hors du château, causant un grand massacre.

Les frères messagers ont été envoyés à toutes les commanderies, et quelques jours plus tard c'est la moitié de l'Ost Stochastique qui se rassemble devant les murs de Tireosor, l'autre moitié ayant tiré à pile ou face qu'ils ne viendraient pas. De sanglantes escarmouches s'enchaînent entre les chevaliers et les cavaliers nomades Norduskas du sud et les morts s'accumulent. Les chevaliers déterminent leurs mouvements en tirant une flèche sur une carte du Norduska, ce qui permet jusque là aux Norduskas d'éviter une bataille rangée qui leur serait fatale. Un soir alors que les moines-soldats brûlent les corps des ennemis tombés au combat sur une grande pyre, Obiden trouve Randomir en train de prier Aleazar devant son épée plantée au sol. Randomir avoue à Obiden son trouble car la divinité semble lui refuser une juste vengeance pour la mort de son frère. Obiden le rassure sur le fait qu'Aleazar leur accordera la victoire et lui rappelle les strictes lois du stochastisme, qui lui promettent la paix de l'âme et des richesses infinies dans l'Ahrulet Rus', l'Empire des cieux.

L'Ost stochastique parvient enfin devant Senturia, l'oppidum des tribus Norduska du Sud au bord du lac de Centurya, et y met le siège. Des troupes stochastiques les rejoignent, qui avaient laissé à leur dieu le soin de décider si ils devaient ou non chevaucher ou marcher. Dans la tente du grand-maître, les chefs de guerre des clans du Nord se réunissent avec Obiden, Randomir et les grands-officiers stochastiques. Ces derniers se bandent les yeux et dessinent à l'aveugle sur un plan du lieu comment leurs troupes attaqueront. A cet instant, la délégation de Kvasnik, le chef des tribus du Sud, arrive pour négocier. Conscient que sa situation est perdue, il prétend être lui aussi un fidèle d'Aleazar et demande à Obiden de laisser la divinité décider de l'issue de la bataille. Les Norduskas sont scandalisés par cette proposition mais Obiden se moque de Kvasnik, convaincu d'avoir le soutien de sa Divinité, et procède au tirage de la Sainte Monnaie. Pile et Kvasnik se rendra, condamnant la population de Senturia à l'esclavage et Face et les chevaliers se retireront. La Sainte-Monnaie montre Face, et Obiden, l'air grave, ordonne que les chevaliers se retireront dès le lendemain. Randomir le prend à part et le supplie de procéder à un nouveau tirage, ce qu'Obiden refuse d'un air courroucé. Randomir se jette alors sur la pièce et la lance, mais la pièce donne Face encore une fois. En larmes et plein de rage, Randomir se retire dans sa tente.

Le lendemain Obiden se met à cheval pour inspecter le départ, mais se rend compte que Randomir à rallié une partie des troupes stochastiques pour attaquer Senturia. Obiden tente de le raisonner mais Randomir tire son épée et lui rétorque que lui et ses hommes vengerons leurs morts et pilleront Senturia, quoiqu'il fasse. S'ensuit une bataille fratricide entre les moine-soldats. Obiden est désarçonné par les hommes de Randomir, qui pense le tenir à sa merci, mais c'est alors que ses alliés Norduskas du Nord s'enfuient, éprouvés par leur trop nombreuses pertes. Les chevaliers d'Obiden se rallient et le grand-maître décapite sont ancien protégé.
Obiden et les stochastiques orthodoxes ont gagné et Senturia est épargnée, mais l'ordre est définitivement affaibli : presque tous ses moines-chevaliers sont morts. La dernière image montre Obiden chevauchant dans la steppe avec ses quelques compagnons restant, regardant à l'horizon. Est-ce qu'Aleazar ne leur aurait pas joué un mauvais tour ?

Un dernier écran noir apparaît qui précise, sans son, que ce sera la dernière bataille des célèbres Stokastikis, qui se retireront des armes et de la vie publique. Depuis ils existent sous la forme d'une petite communauté monastique tolérée au Valdisky.
***FIN***
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Message  Kasimir Ilitch Manikine Ven 3 Avr 2020 - 19:11

Titre original : Le Marquis de la Dèche
Réalisation : Les frères Marks
Genre : Comédie
Produit par : SRTV Films à Studios Maskva
Acteurs principaux : Dirk Van Zoom (Le Marquis Zygmunt Von Zorglub), Irina Akter (la Marquise Gertrüd), Stepan Glavniy (le passant), Isabela Kandinsky (la médecin), Boris Bortsch (l’administrateur), Olivia et Grigor Pavlov (Zenny-Zofia et Zohn-Alekzander).

Pays d'origine : Valdisky, URRV
Genre : Comédie
Durée : 170 minutes
Sortie : 2020

Productions SRTV Le-Marquis-de-la-D-che-film-png

Synopsis :
Nous sommes dans la campagne du Nordenmark. Dans un parc arboré, un étang aux cygnes. Au bord de l’étang se dresse un magnifique manoir de style néoclassique à colonnades. Zygmunt von Zorglub admire son domaine par la fenêtre pendant que le petit personnel, des dizaines de femmes de chambres et valets fivers, défilent derrière lui pour installer le petit déjeuner. Zygmunt est Marquis de Kleinfeld, et ce matin son petit-déjeuner est perturbé par les rumeurs de troubles merksistes à Zachzenburg. Le Zachzenburg Zeitung, journal ultra-conservateur, est pourtant formel : point de raison de s’inquiéter, puisque le Grand-Duc et le Prince héritier contrôlent la situation.

Pour se changer les idées Zygmunt décide de faire un tour de ses vastes propriétés dans sa berline, et emmène avec lui toute la famille, sa femme Gertrüd et ses deux enfants Zohn-Alekzander et Zenny-Zofia. Ils visitent d’abord un grand moulin industriel où travaillent apparemment plusieurs centaines de ses ouvriers. Le Marquis et sa famille désignent du doigt les travailleuses en costumes miteux et les tournent en ridicule. A cet instant nuage de farine s’échappe des fenêtres du moulin et des ouvriers se précipitent hors du bâtiment. Ils s’étouffent dans le nuage de poudre blanche et demandent de l’aide en approchant la voiture. Sans sortir du véhicule, Zygmunt frappe la main de l’ouvrier le plus proche. « Arrière Oi Polloi ! ». La famille s’esclaffe de l’outrecuidance des roturiers et décide d’aller plutôt en ville dans les grands magasins.
Malheureusement, une manifestation d’ouvriers en colère occupe la place centrale de Zachzenburg, et leur chauffeur a bien du mal à conduire à travers la foule. Gertrüd exige alors au chauffeur de faire demi-tour, tout en lui reprochant d’avoir failli abimer le luxueux véhicule en percutant un groupe d’ouvriers. Zygmunt ordonne au chauffeur de s’arrêter à la Banque de Commerce du Zollernberg pour retirer de l’argent, car il s’inquiète un peu pour sa fortune. Alors qu’il retire des liasses de livres zterling en espèces, une grande commotion se fait entendre. Zygmunt pellète alors son argent rapidement dans une grosse valise en cuir et sort de la banque.
Zygmunt est sans voix. Là où sa voiture était arrêtée il y a quelques minutes, une milice de l’Armée Violette défile en chantant et en hurlant de joie. Des jeunes hommes et femmes les embrassent. Au bout de la rue, il voit sa voiture qui part au loin et Gertrüd qui hurle au chauffeur d’accélérer plus vite. Un passant l’informe alors que la guerre est finie.
« Mais de quelle guerre parlez-vous mon brave ? » demande Zygmunt. « Celle entre les merksistes-violetistes et le Zollernberg » lui répond le passant. « Au passage votre argent ne vaut plus rien ici », fait-il en lui montrant un billet qui dépasse de la valise.

Zygmunt, choqué, tente de commander un taxi pour rentrer chez lui, employant toujours son ton aristocratique et hautain auprès des chauffeurs, mais aucun taxi ne prend plus les livres zterling et les lignes téléphoniques ont été coupées par les révolutionnaires. Le Marquis abandonne alors dans le caniveau la valise devenue inutile. Apparaît alors un Zygmunt incapable de faire quoique ce soit sans ses privilèges et de s’adapter à sa nouvelle situation de vulgum pecus. Il décide de rentrer alors chez lui à pied, ce qu’il n’a jamais fait auparavant. Sortant de la ville, il aperçoit un âne dans la cour d’une ferme. Il se rassure lui-même en disant que ce paysan prêtera bien son âne à son Marquis dans le besoin, et tente de chevaucher l’âne comme monture de fortune. La bête se révèle moins docile que prévue et le Marquis se retrouve projeté dans la fange de la cour. Alerté par les braiements, le fermier accourt en criant au voleur et botte l’aristocratique arrière-train qui se retrouve propulsé hors de la ferme avec forces rires des paysans. Zygmunt atteint finalement son château tard dans la nuit. Quelques rares fenêtres sont éclairées, et le Marquis se rend compte que sa famille et ses domestiques l’ont abandonné à lui-même. Seule une petite troupe de miliciens rouges occupe une aile du château. Une poignée d’entre-eux hurlent et s’enfuient en croyant voir un des célèbres fantômes censés hanter la demeure. Leurs camarades explosent bientôt de rire en voyant leur méprise : il ne s’agit que du Marquis, l’air piteux, le visage maculé de boue et les vêtements déchirés. Von Zorglub les tance et les agoni de vaines menaces puisqu’il est bien incapable de les chasser sans ses domestiques. Epuisé, il rentre sous les moqueries des soldats dans ses appartements, vides, noirs et froids, maintenant que plus personne n’est là pour servir.
Il se réveille le lendemain matin pour constater que personne n’est là pour répondre à ses sollicitations. L’aristocrate en pyjama se met en quête de préparer lui-même son petit-déjeuner mais manque de s’assommer avec une batterie de casseroles puis de mettre le feu car il n’a aucune idée de comment cuisiner ou se servir d’un simple couteau à pain. Les soldats prennent finalement pitié de lui et lui concèdent un peu de leur pitance.

Zygmunt errera ainsi quelques jours de plus à travers la campagne de Zachzenburg, échouant piteusement à chaque fois à s’adapter et devenir un travailleur proMarquistif. Il se fait ainsi expulser de partout à cause de son ton hautain, son ignorance totale du travail intellectuel ou manuel et son absence totale d’initiative. Constatant qu’il est parfaitement incapable et donc vulnérable, une médecin finit par le prendre sous son aile. Elle argumente auprès d’un administrateur merksiste local qu’il est une charge pour la collectivité et le convainc de lui acheter un billet pour la frontière zollernoise. Le Marquis Von Zorglub descend à Whilelstaufen, où il atterrit en soupirant de contentement, heureux de se retrouver à nouveau entouré de gens de bonne société. Seul problème : son épopée nordenmarkoise l’a transformé. Son costume chic n’est plus qu’un haillon de clochard et il ne se rend pas compte que les bourgeois se moquent de son apparence.

***FIN***
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Message  Kasimir Ilitch Manikine Mer 13 Mai 2020 - 21:42

Titre original : Le Désert d’Atropatene
Réalisation : Kasimir I. Manikine
Genre : Drame
Produit par : SRTV Films à Studios Maskva, filmé en Atropatene valdiske
Acteurs principaux : Stepan Glavniy (le Lieutenant Ivan Dragovich), Boris Bortsch (le colonel), Gerard Von Krassbach (le lieutenant Karpov), Isabela Kandinsky (la fiancée d'Ivan), Semion Igraev (le capitaine Severniy), Anton Koloviev (l'ami d'Ivan), Igor Nograd (le Général).

Pays d'origine : Valdisky, URRV
Genre : Drame
Durée : 135 minutes
Sortie : 2020

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Ivan Dragovich, jeune lieutenant de l’armée impériale russlave, est nommé au fort Basunov à sa sortie de ses classes militaires. Le fort est situé en dans la satrapie d’Atropatene, une colonie russlave situé dans les désertiques vallées entre Russlavie et Krassland, où, depuis des millénaires, les tribus nomades et montagnardes trouvent refuge et lancent des attaques sur la plaine russlave. Le fort est situé dans une haute vallée entourée de montagnes, perché sur un promontoire rocheux désertique et isolé du reste du monde par la neige en hiver.

A son arrivée, Ivan est fasciné par le fort, sentinelle solitaire écrasée par le massif abrupt. Les montagnes désertiques et sauvages agissent comme un aimant sur lui. Son premier réflexe est de fuir ce lieu désolé, mais le vieux colonel moustachu commandant le fort le convainc de rester quatre mois de plus contre la promesse d’un faux certificat de maladie qui lui permettrait de rentrer à Murasibirsk, oú tous ses amis officiers ont obtenu des affectations dans des bureaux. Le jeune lieutenant s’acclimate doucement a son environnement et aide même a améliorer les relations entre les militaires et la tribu d’éleveurs locaux. Au terme des quatre mois, lors de la visite du médecin militaire, Dragovich contemple la montage, le ciel bleu profond et repense a sa vie en ville, dont les préoccupations bourgeoises de ses amis lui paraissent tristes et vaines. Sur un coup de tete, il annonce qu’il décide de rester à son poste.

Après deux années de présence, un cheval sans cavalier arrive du Sud : le soldat Gouzovski est tué par une sentinelle du fort en voulant ramener le cheval. Puis arrivent des cavaliers, mais les militaires constatent qu’il ne s’agit pas d’une attaque, mais simplement des soldats adverses qui délimitent la frontière, en installant du bornage. Un des collègues  avec qui il s’est lié d’amitié, le lieutenant Karpov, décide de partir mettre une borne au sommet de la montagne avant ceux du Sud, mais il meurt de fatigue et de froid dans une tempête de neige.

Après quatre années d’affectation au fort, Ivan obtient une permission de deux mois et retourne a Murasibirsk, mais il est devenu un étranger pour ses parents, et aussi pour son amour de jeunesse. Il est invite par celle-ci et ses amis a une fête pour son retour, mais il décline l’offre, se sentant déconnecté d’eux. Lors d'une entrevue chez le Général de la région militaire Sud pour avoir une nouvelle affectation, il apprend que la garnison du fort Basunov va être réduite de moitié et que la moitié des officiers ont demandé leur mutation. Après quatre années d’affectation, Dragovich pensait être prioritaire, mais il n’a pas fait de demande de mutation. A cause de cette erreur bureaucratique, il assiste au départ des officiers. Il reprend espoir quand un camarade, le capitaine Severniy, lui signale des signes d’activité au Sud : les ennemis du Sud construisent une route.

Après quinze années de présence, la route est enfin finie, l'ennemi peut accéder rapidement a la vallée et au Fort. Malgré cela les effectifs du fort ont encore baissé. Le jeune lieutenant est promu et remplace le vieux colonel moustachu a la tete du Fort. Il obtient une permission de trente jours avec cette promotion, mais il en revient au bout de vingt jours car des cavaliers ont été aperçus dans la montagne.
Après vingt ans de présence, Dragovich est commandant de front pour la vallée. Sa santé est mauvaise. Il soudoie le médecin militaire pour qu’il garde le silence et pour pouvoir rester au fort.

Après trente années de présence, les cavaliers ennemis attaquent enfin, mais Ivan est malade et s'évanouit devant ses hommes. Il est alors rapatrié à l’arrière. À son retour vers Murasibirsk, il croise les soldats qui montent en renfort. Il est seul, sans famille ni amis. Lui qui a attendu si longtemps l'attaque venue du Sud, il va livrer l’unique combat de sa vie contre la mort.
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Productions SRTV Empty Sisyphe

Message  Kasimir Ilitch Manikine Sam 13 Mar 2021 - 1:34

Titre original : Sisyphe ou comment vivre une vie parfaite

Réalisation : K. I. Manikine
Genre : Drame
Produit par : SRTV à Studios Maskva
Acteurs principaux : Irina Akter (Sisyphe), Stepan Glavniy (Melko), Grigor Pavlov (Piko), Dirk Van Zoom (Le Sage Strepnikov).

Pays d'origine : Valdisky, URRV
Durée : 130 minutes
Sortie : 2021

Productions SRTV Sysyphe-2

Une jeune femme se présente. Sisyphe Selnikova est l’héroine et la narratrice. La jeune femme habite Valgograd dans le nord du Valdisky avec ses parents et son fiancé. C’est le dernier mois de ses études universitaires. Elle explique son ambition dans la vie : mener la vie parfaite. Elle a d’ailleurs planifié toute sa vie pour être une merksiste exemplaire, de ses études, sa carte du Parti Violetiste, son mariage, son déménagement avec son compagnon, puis son plan de carrière. Bref, elle a tout prévu et nous explique doctement la amrche à suivre. Sauf que non. Rien de tout cela n’aura lieu.

Lors d’une cérémonie à l’Université, on annonce qu’une guerre civile s’est déclarée et sa brigade de quartier est mobilisée sur le front Est. Peu à peu, tous les repères bien ordonnés de la vie de Sisyphe s’écroulent les uns après les autres, jusqu’à ce qu’une bataille particulièrement chaotique décime son unité et ses camarades de classe. Le front s’est écroulé, elle est blessée et impossible pour elle de retrouver son unité. Son quartier a été rasé par les bombes et sa famille a disparu. La jeune femme se retrouve à errer au milieu des ruines au bord de la ville. Plus rien n’a de sens.

S’avançant dans la campagne, elle tombe enfin sur une ferme où elle rejoint Melko, un jeune gaillard et son petit frère Piko, des réfugiés. Sisyphe reste quelque temps, le temps de retrouver ses forces et de nouer une romance avec Melko qui finit de la faire douter de ses certitudes sur son avenir. Après quelques semaines, elle propose d’aller à la capitale chercher l’oncle de Melko, qui pourrait venir chercher les deux frères en voiture.
A Maskva pourtant, rien ne l’attend que la devastation. Elle apprend en arrivant qu’une offensive de l’ennemi a rasé le village de Melko. Sous le choc elle erre sans but à travers la ville dévastée. Une fois de plus, elle a perdu le peu qu’elle avait reconstruit. Elle échoue au port de commerce, où le mendiant Strepnikov la recueille. Le vieux sage, qui n’a presque rien, n’hésite pas à lui offrir le logis et sa maigre pitance, le temps qu’elle se remette sur pied, ce qui fait grande impression sur elle. Il lui confie que lui non plus a perdu famille et richesses lors des guerres précédentes. Il lui fait comprendre qu’elle est jeune et en vie, et que ce simple fait lui donne la possibilité de reconstruire ce qui a été détruit. Il la confie enfin à une association d’aide aux réfugiés qui opère dans le quartier. Sisyphe se rend compte qu’elle peut encore trouver un sens à une vie malgré tout cela et investit son énergie dans l’aide aux réfugiés de guerre. Elle dirige bientôt une équipe de bénévoles qui reconstruit les dispensaires et maisons avec l’AHLEM. Sur un chantier, elle retrouve un Piko en loques, qui s’écroule dans ses bras en larmes, épuisé mais heureux d’avoir retouvé une figure familière.

Voilà, c’est son histoire explique la narratrice. Rien de ce qu’elle avait planifié n’est arrivé, mais malgré les caprices du destin, elle a patiemment reconstruit la paix, son pays, sa vie, une famille, et un avenir, avec Piko, son fils adoptif. Jour après jour, brique par brique, jouet après jouet, sourire après sourire. Peut-être est-ce finalement cela une vie « parfaite » ? Une vie quoiqu’il en coûte.

***FIN***
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