Demande de Naturalisation - Kliment Peshkov

Nom et prénom :
Kliment Vladimirovitch Peshkov

Date de naissance :
1er Février 1993

Histoire :
Née dans une famille petite-bourgoise, (commerçant) du Zollernberg. À suivi des études d'ingénieur, avant de trouver un emploi dans une usine de Kolstadt. Force d'émigrer pour ses convictions politiques et son engagement syndicaliste.

Métier exercé ou souhaité :
Ingénieur Électronicien

Camarades, je viens aujourd'hui chercher refuge au pays des travailleurs, mais soyez rassuré, si aujourd'hui, la République Populaire du Valdisky m'offre une nouvelle vie, je compte bien la consacrer à la cause du Violëtisme ! Longue vie à la république populaire !

Le douanier procéda à l'enregistrement du dossier de nouveau citoyen Peshkov. Vu ses origines zollernoise, le douanier devait également envoyer un rapport à la PPV. On suspectait des réfugiés politiques zollernois d’être des espions, mais ils intéressaient avant tout la PPV pour les informations qu'ils pouvaient livrer sur le Zollernberg : tensions intérieures, état des réseaux merksistes officiels ou clandestins, ... Des informations précieuses puisque, malgré le réseau d'espionnage valdisk présent au Grand-Duché, la RPV ne pouvait connaître absolument tous les détails de politique intérieure de ce pays à la taille bien plus importante que le Valdisky.

Le douanier finalisa la création des papiers d'identité de Kliment Peshkov avant de s'adresser une nouvelle fois à son nouveau camarade.


- Bienvenue en République Populaire du Valdisky, camarade Peshkov. Vous êtes officiellement considéré comme citoyen de la République avec tous les droits et devoir que cela implique. En tant que réfugié politique, vous avez le droit à un logement à Maskva et vous pouvez adhérer au Parti Violëtiste Valdisk et à l'un de ses mouvements.

Kliment n'en revenait pas, non seulement on l'acceptait, mais en plus on lui offrait un status de réfugié politique, et une maison ! N'était-ce pas la la preuve même de la réussite du Merksisme ? Que dire d'autre d'un pays si généreux !

- Merci camarade ! Merci beaucoup !

Dit il en serrant la main de l'employé dubitatif devant autant d'enthousiasme. Puis il prit ses affaires et pris la direction de la ville.