Usine Aéronautique Civile de Valdrak (UACV)

Bonjour ! Bienvenue dans les bureaux de l'Usine Aéronautique Civile de Valdrak.

Cette Usine est générée par le ministère de l'économie.

Chef des Projets : Camaяde Iиgénieuя Milaи Dяagovich

Le bureau d'étude a lancer la production d'avions voici leurs présentations :

L'UACV 124



Performances :

Vitesse maximale : 960 km/h
Vitesse ascensionnelle : 12.25 m/s
Autonomie: 2 325 km
Plafond : 11'850 m

Dimensions :

Longueur : 30.60 m
Envergure : 25.70 m
Hauteur : 8.10 m

Capacité :
Passagers : 56
Max. à vide : 22,9 t
Max. au décollage : 37,5 t

Igor Bekronsky, agent d'affaires pour MakroKorp Valdisky souhaitait parler avec le directeur d'UACV.

- Bonjour cher camarade. Je viens avec une commande pour un hélicoptère CH-20 aux couleurs de la société krasslandaise KREX Offshore.
Je souhaiterait avoir une idée du prix que vous proposez et négocier cet achat.

Le directeur Gopovsk, qui venait d'être élu à se poste par le Soviet de l'usine, regarda le catalogue de l'usine avant de répondre.

- Le CH-20 Komet est disponible à 13 000 roubles valdisks, personnalisation comprise. Nous n'en avons pas de disponible tour de suite mais nous pouvons vous le livrer pour la fin du mois.

- Parfait ! Nous réglerons la facture dès que vous aurez le produit en stock. Nous prendrons livraison à l'aéroport de Maskva si vous le permettez.

Oeuvre Prolétaire de Solidarité Humanitaire (OPSH)

L'Oeuvre Prolétaire de Solidarité Humanitaire (OPSH) est à la recherche
- d'un hélicoptère lourd capable de transporter des charges lourdes importantes et d'opérer à haute altitude
- d'un hélicoptère léger de reconnaissance capable d'opérer sur tous types de reliefs et dans tous climats

Relance de l'UACV et des commandes - Dépense gouvernementale - 1 MЯV / 2

Yeltsin avait reçu l'ordre de remplacer Mikhailovna, le temps de son absence. Il avait donc repris à son compte le carnet des commandes. Tout d'abord, il contacta son homologue Anatoli Kroutchov. Il lui expliqua qu'il viendrait dès que possible au RDV.

Ensuite, Yeltsin avait reçu mandat de redresser l'UACV qui ne sortait bientôt plus rien de ses usines depuis longtemps. Il rappela donc des ouvriers et des ingénieurs. L'UACV allait reprendre du poil de la bête et l'UЯЯV allait pouvoir montrer partout que le pays était actif dans l'aérien avec son usine.

Il prit tous les plans existants et les tria. À gauche, les appareils désuets ou dont la fabrication actuelle prendrait trop de temps à renouveler. Ces appareils avaient fait la gloire du pays jadis. On y retrouvait le CV 40, le CV 124 et le CV 114. Il relut les informations sur ces avions:

CV 40
Vitesse maximale : 550 km/h
Passagers : 32
Autonomie: 1 750 -1 895 km

CV 124
Vitesse maximale : 760 km/h
Passagers : 56
Autonomie: 2 100- 2 325 km

CV 114
Vitesse maximale : 775 km/h
Passagers : 220
Autonomie: 9 900-10 500km

Il prit soin de conserver plusieurs exemplaires des plans. Et les classa soigneusement dans une armoire d'archives. Il prit le reste des plans en double voire en triple ou encore en quadruple et jeta tous ces derniers à la poubelle.

À droite, sur la table, une pile de documents concernant les avions à garder ou développer. Le CV170 était utilisé notamment par Norskflot. Aussi, supprimer sa construction serait suicidaire économiquement. Et pour relancer ProlétAir, doter la compagnie d'un CV170 également serait parfait. Les deux compagnies pourraient donc se targuer de «voler local» et maintenir une production économique locale pour les deux compagnies semblait judicieux.

Là aussi, il relut les caractéristiques des avions:
CV 62
Vitesse maximale : 870 km/h
Passagers : 180
Autonomie: 6 800-9 200km

Le CV62 était un appareil intéressant. Ce bi-réacteur était toutefois un peu vieillot. Yeltsine appela un ingénieur reconnu. Ils discutèrent longtemps. L'ingénieur lui dessina un CV62. Exit le bi-réacteur. Il en dessina un troisième. «Avec ce troisième réacteur, nous devrions pour le moment être les seuls dans l'Archipel à produire un tri-réacteur. Cela pourrait même intéresser des pays à en acheter à l'UACV» dit-il à Yeltsin. Qui approuva.

Les capacités seraient plus ou mois les mêmes, notamment en nombre de passagers et d'autonomie. En revanche, l'avion volerait à +900km/h. Yeltsin tapota du doigt sur le croquis. Celui-là. Oui, celui-là ! On l'appellera autrement car le CV62, c'est fini ! Ils cherchèrent un nom ensemble. L'ingénieur lui proposa «CV-200». Il serait le dernier des usines UACV, autant lui donner le plus haut numéro de la série des avions produits par l'usine.

Très bien ! Yeltsine regarda les plans.
À gauche, les plans du CV170. À droite, les plans du nouveau CV200. Le premier était en utilisation, le second serait nouveau.
C'est bon Monsieur. Je vous remercie, et je compte sur vous pour superviser la construction de cet avion. (L'ingénieur Camarade, ne se rendit pas tout de suite que le Commissaire à l'Économie venait de l'appeler Monsieur et non Camarade. Il trouva cela très étrange. Mais n'en fit pas plus que ça.)

- Quel est le budget alloué à cette construction?

Yeltsin n'eut aucun problème à répondre à l'Ingénieur et il lui répondit tout de suite:
- Le tout est budgété à 2 Millions de roubles Valdiskes concernant la mise à jour de notre CV62 en CV200.
- Comment cela se fait-il? demanda l'ingénieur.

Yeltsine lui détailla la réforme économique qu'il avait mené: le CV62, appareil national volant à l'international allait être rénové. Puisque cet avion volerait au-delà des frontières nationales, un totale de 2 MяV serait à dépenser pour adapter le CV62 en CV200.

- Mais je dois relancer ProlétAir également. Avec la construction de ce nouvel avion et la mise à jour des structures de l'entreprise nationale ProlétAir, le total devrait se situer aux alentours de 4 MяV au total. Car ProtétAir existe également déjà et sa situation d'opérateur à l'international peut être rénové avec 2 millions de roubles supplémentaires.

- 4 MяV... L'ingénieur compta rapidement dans sa tête avec l'ancienne Rouble... Mais c'est énorme !
- C'est un budget conséquent, répondit Yeltsin. Mais un budget qui va aider à relancer tout le secteur aérien valdisk. Au travail, Camarade !

En entendant «Camarade», l'ingénieur fut rappelé à ses réflexes pavlovien, se redressa, salua son supérieur avec la rigueur toute souhaitée dans ces circonstances et s'en alla relancer la machine. L'UACV était de retour.

Relance de l'UACV et des commandes - Dépense gouvernementale - 1 MЯV (2/2)

Les travaux continuaient d'avancer dans les UACV. Les plans avaient été mis à jour. On repartait donc entièrement sur le CV62 mais on lui donnerait un petit coup de peps, avec des nouveaux moteurs lui permettant d'aller un peu plus vite et gagner quelques dizaines de kilomètres à l'heure par rapport à la version V1 du CV62.

Y'aurait-il une classe ou deux classes? De toute façon, le Peuple n'aurait pas forcément beaucoup d'argent pour voyager. Alors tant qu'à faire, l'Ingénieur en chef des UACV décida qu'il y aurait 2 compartiments: l'un pour les dignitaires du Parti, et pour les Camarades occupant des postes d'élus ou à responsabilité. Les autres iraient derrière, avec le Peuple. Le service serait évidemment un peu meilleur à l'avant et les sièges un peu plus rembourés. Mais l'Ingénieur en Chef estima que des étrangers pourraient très bien voyager sur ProlétAir. Aussi, il s'assura que le confort soit digne d'une compagnie nationale pouvant accueillir des étrangers et leur montrer les voluptés du Régime et de ses capacités à rivaliser avec des compagnies étrangères.

Les ingénieurs GISA étaient arrivés au Valdisky sur demande du Commissaire Général à l'Économie, au Plan et aux Deniers publics. Ils avaient reçu un laissez-passer exceptionnel pour venir exécuter leur tâches. Le hic, ils avaient volés sur Norskflot, car la compagnie était la seule à relier l'Aéroport de Valdrak à Aarosia.

Le système de tri-réacteur fonctionnait pas mal. Il faudrait encore régler quelques soucis notamment de gouvernail. Mais en réalité, le CV-62, vieille machine, n'était pas si mauvaise. Les Valdisks savaient rivaliser en technologie de masse et fort heureusement, l'UACV n'avait plus à faire ses preuves dans le domaine de l'aéronautique civile.

L'Ingénieur ouvrit d'ailleurs une lettre. Elle était signée de Kratchok. Ce dernier voulait, avec le lancement de la nouvelle mouture du CV-62 appelée CV-200, moderniser la marque de l'entreprise. Aussi, il fit parvenir le nouveau logo de l'UACV, qui serait apposé tant sur les avions qui sortiraient désormais de l'usine que sur le toit de cette dernière, en néon rouge, qui se verrait bien, même lors d'un atterrissage dans un épais brouillard sur l'Aéroport de Valdrak.

[1 MrV]

Eut égard aux premiers tests concluants du Super-Violet, les 5 premiers exemplaires du Super-Violet version attaque au sol furent commandé a l'usine UACV. Les appareils seraient désignés SV-25AT par l'Armée de l'Air Violette et remplaceraient progressivement les Dig-12A dans les escadrons 01 de Maskva et 16 de Poldévie. Les versions chasse, marine et guerre électronique seraient commandées par la suite.
Cette nouvelle commande fut un réel soulagement pout les ouvriers locaux qui voyaient le carnet de commande des usines aéronautiques se remplir a nouveau et les embauches se multiplier. Cela contribuerait probablement a la popularité du MVU, chose que Kroutchov avait bien en tete en relançant la commande publique avec l'AAV.